Protection fongicide, préoccupation majeure pour les céréaliers

Céréales
Protection fongicide, préoccupation majeure pour les céréaliers

Une enquête Kynetec réalisée en 2022 révèle que le choix des fongicides et leur mise en œuvre en saison sont des sources d’inquiétude pour les céréaliers.

Pour que l’efficacité et le rendement soient au rendez-vous

« La protection fongicide des céréales vise à protéger et préserver le potentiel de la culture », rappelle Damien Lenglet, marketing manager fongicides grandes cultures chez Syngenta. Il n’est donc pas surprenant que le choix de la stratégie et plus encore, la mise en œuvre des traitements, fassent partie des préoccupations majeures des céréaliers, car ce sont le rendement et la qualité de la future récolte qui sont en jeu.
Dans la liste des inquiétudes liées à la protection fongicide, les céréaliers citent notamment :

  • la résistance des maladies aux fongicides,
  • les retards d’application à cause de mauvaises conditions météorologiques, 
  • les difficultés à identifier les maladies et les niveaux de pression, 
  • les difficultés à déterminer le meilleur moment pour les applications,
  • la charge de travail accrue lors des traitements 
  • et le manque de temps pour observer la culture et rechercher des problèmes éventuels.

Pour une mise en œuvre de programmes fongicides à la fois efficaces et durables dans les meilleures conditions, les céréaliers peuvent s’appuyer sur la Protection Fongicide Responsable, démarche de progrès développée par Syngenta depuis plusieurs années et basée entre autres sur l’alternance et l’association des différentes familles chimiques dans les programmes. Ils peuvent également utiliser un outil d’aide à la décision comme AVIZIO™, afin d’anticiper l’arrivée des maladies pour positionner au mieux les applications.

Gérer la pression sociétale

Au-delà des préoccupations d’ordre technique pour « réussir la protection fongicide », les céréaliers sont de plus en plus préoccupés par la pression sociétale qui pousse à réduire l’usage des produits phytosanitaires. « C’est un point qui inquiète de plus en plus les céréaliers qui doivent à la fois s’adapter à leur entourage,  leur environnement et en même temps sécuriser leur revenu avec des rendements satisfaisants » souligne Damien Lenglet. De ce point de vue, le recours aux OAD pour intervenir au bon moment, si nécessaire contre les maladies avec l’intégration progressive de solutions de biocontrôles dans les programmes de protection, permet aux céréaliers de faire un pas de plus vers la transition agroécologique. 


Cultiver des céréales, un parcours semé d’émotions !
L’enquête Kynetec révèle que la culture des céréales est un véritable parcours de « montagnes russes émotionnelles » : du choix de la rotation (émotions positives) à la moisson (période de stress pour la majorité des agriculteurs), les céréaliers passent par de nombreuses phases jugées compliquées autour de la mise en œuvre de la stratégie herbicide ou encore des semis, autant d’étapes déterminantes (et souvent inquiétantes) pour aboutir à une belle récolte et un revenu satisfaisant.  


Contrôler un « complexe maladies » sur blés et sur orges

Une autre enquête Kynetec* réalisée auprès de 375 agriculteurs met en lumière les principales problématiques à contrôler sur les céréales. Sans surprise, pour le blé, la septoriose, les fusarioses et les rouilles sont considérées comme les maladies majeures à contrôler. Pour l’orge, il s’agit de l’helminthosporiose et de la rhynchosporiose.
Cette enquête démontre que les céréaliers doivent gérer un complexe maladies et en conséquence qu’ils sont à la recherche de solutions qui permettent de maîtriser l’ensemble de ces maladies aux différentes périodes de traitement. « La solution fongicide ELATUS® Era qui permet de lutter contre le complexe septoriose et rouilles sur les blés au T2, pilier de la protection fongicide,  est de ce fait très appréciée par les céréaliers » souligne Damien Lenglet. « ELATUS® Era est également utilisé sur orges pour lutter contre le complexe maladies au T2 et notamment la rhynchosporiose, l’helminthosporiose et la ramulariose ».

* Mai 2019