Taegro, 3 modes d’action pour protéger la vigne

Avec 3 modes d’action complémentaires, le biocontrôle Taegro® participe à la gestion des maladies de la vigne et des légumes*.
Compétition à la surface des plantes avec les pathogènes
Après application du produit sur la plante, les micro-organismes (Bacillus amyloliquefaciens) de Taegro s’implantent très rapidement et colonisent l’ensemble des organes traités empêchant ainsi les pathogènes de s’installer. « C’est le mode d’action majeur de Taegro® où les micro-organismes rentrent en compétition avec les pathogènes » explique Jean-Baptiste Drouillard, expert technique vigne chez Syngenta. L’implantation à la surface des organes traités se fait très rapidement en moins de 2 heures et suppose en conséquence une excellente qualité de pulvérisation afin d’atteindre tout le végétal à protéger.
Stimulation des défenses naturelles
Dans un deuxième temps, dès lors que les plantes colonisées par les Bacillus amyloliquefaciens détectent la présence de micro-organismes, cela induit le déclenchement de leurs défenses. Cette deuxième voie d’action complète et prend le relais de la compétition à la surface des plantes.
Action directe sur les pathogènes
Enfin, les Bacillus amyloliquefaciens installés à la surface des feuilles produisent naturellement par leur métabolisme des lipopeptides, substances à action toxique. Ce mode d’action biocide permet de renforcer la protection contre les pathogènes qui agressent les plantes. « Ce sont ces lipopeptides qui assurent la durée d’action de 7 à 10 jours de Taegro » précise l’expert.
Compte tenu de ses différents modes d’action, le positionnement de Taegro est préventif.
Taegro est autorisé pour lutter contre l’oïdium et le botrytis de la vigne. La dose recommandée est 0,37 kg/ha contre le botrytis et 0,185 kg/ha contre l’oïdium.
Taegro est une solution de biocontrôle utilisable en agriculture biologique