Comment utiliser Dynali et Rocca ?
Dans un contexte de développement de phénomènes de résistance avec plusieurs familles d’anti-oïdium, Dynali et Rocca se positionnent préférentiellement pendant la période de plus haute sensibilité de la vigne.
Pour les vignobles concernés par le black rot, l’efficacité de haut niveau de Dynali et Rocca sur cette maladie permet de le positionner pendant toute la phase de sensibilité de la vigne.
Dynali et Rocca s’utilisent à la dose de 0. 5 L/ha avec un maximum de 2 applications par hectare et par an..


Comment les utiliser sur votre vignoble ?
En Champagne, où la pression oïdium a été particulièrement virulente en 2012, « Dynali et Rocca vont permettre de compléter les programmes actuels en pérennisant une efficacité de haut niveau » commente Bernard Noye, ingénieur régional. « Dynali et Rocca sont préconisés généralement avant la floraison pour leur efficacité sur brenner et black-rot. Ils sont également intéressants sur la période de sensibilité maximale (floraison) où l’alternance des familles chimiques devient primordiale ».
Dans le Sud-Est, Dynali et Rocca sont conseillés au cœur de de la protection, le CFF apportant une réelle innovation avec une nouvelle famille pour pérenniser l’efficacité des programmes. « L’efficacité se gagne en démarrant tôt à 5 - 6 feuilles, en respect les cadences et la qualité de la pulvérisation » explique Jean Litoux, ingénieur régional.
En Aquitaine où l’oïdium est en progression depuis 3 ans et la lutte mixte oïdium / mildiou et parfois black-rot est très répandue, la notion de programme est primordiale pour une réussite optimale. « Dynali et Rocca sont préconisés autour de la floraison. Ces nouvelles solutions permettent aux vignerons d’avoir une alternative pour pérenniser la protection oïdium» souligne Gilles Robert, ingénieur régional.
En Val de Loire, « dans un contexte où l’oïdium, habituellement discret dans notre région, a explosé en 2012, Dynali et Rocca permettent d’intégrer au moment de la fleur une nouvelle famille chimique pour jouer l’alternance» explique Gildas Maillet, ingénieur régional.