CFF, pérennité et fiabilité des programmes contre l’oïdium

Vigne
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La pérennité et la fiabilité des programmes contre l’oïdium de la vigne passent par l’alternance des familles chimiques, le choix du bon produit au bon moment et l’intégration des solutions dans un raisonnement prenant en compte la préservation de la faune auxiliaire et de l’environnement.

CFF, répond à ces 3 niveaux d’exigence.

Une nouvelle famille chimique : les amidoxines

CFF est le seul représentant d’une nouvelle famille chimique, les amidoximes, qui ne présente pas de résistance croisée avec les autres spécialités anti-oïdium du marché. Depuis de nombreuses années, l’oïdium de la vigne développe des résistances à différentes familles chimiques. Ce phénomène s’est encore accéléré en 2012 avec la pression de cette maladie dans de nombreux vignobles.
Le CFF, unique substance active de la nouvelle famille chimique des amidoximes possède un mode d’action original qui ne présente aucune résistance croisée avec les autres familles d’anti-oïdium.
Les prélèvements d’oïdium réalisés dans les principaux vignobles français au cours des derniers millésimes, ont montré une grande sensibilité au CFF.
L’introduction d’une nouvelle solution anti-oïdium robuste est particulièrement intéressante.

Une protection optimisée sur la période de sensibilité maximale de la vigne

Les produits à base de CFF doivent être positionnés du stade boutons floraux séparés jusqu’à la fermeture de la grappe car c’est là que les attaques d’oïdium peuvent avoir les plus lourdes conséquences. On pratiquera 2 applications maximum, en alternance avec des fongicides haut de gamme d’autres familles chimiques, pour couvrir parfaitement cette période critique.
La cadence de renouvellement des produits à base de CFF est de 14 jours. Ils présentent une bonne résistance au lessivage (jusqu’à 60 mm) car le CFF se fixe et pénètre rapidement dans l’épiderme , il est ainsi à l’abri du lessivage en 2 heures.
Les produits à base de CFF ont fait l’objet de nombreuses expérimentations sur de nombreux cépages au niveau européen et ont toujours fait preuve d’une excellente sélectivité vis-à-vis de la vigne.

Programme anti-oïdium vigne
Vigilance maximale sur les baies en formation ! 
Les contaminations primaires d’oïdium peuvent se produire très précocement au printemps sur les premières feuilles de la vigne mais elles ont généralement peu d’incidence. Les premières applications, dont le stade varie suivant les vignobles et les cépages, peuvent se faire avec des anti-oïdiums classiques. En revanche, les baies étant très sensibles à l’oïdium dès qu’elles se développent, et ce tant que leur épiderme est chlorophyllien, il convient de les protéger avec des spécialités anti-oïdium haut de gamme.