Oïdium de la vigne, soigner le cœur de la protection

Vigne
Symptome d'oïdium sur feuille de vigne

Dans les vignobles du sud, au cœur de la protection oïdium, DYNALI®, ROCCA® et CONYDIA® s’intègrent dans tout type de programmes.

DYNALI®, ROCCA® et CONYDIA®, piliers de la lutte fongicide dans les vignobles méridionaux

« Dans les vignobles méridionaux, c’est toujours l’oïdium qui est à la base du programme fongicide » rappelle Jean Litoux, Ingénieur Solutions Agroécologie Vigne Syngenta dans cette région. « Les pressions peuvent être variables selon les années, mais les zones littorales qui subissent des entrées maritimes, et certains cépages comme le carignan mais aussi le chardonnay sont très sensibles à l’oïdium » ajoute-t-il.
Pour maîtriser l’oïdium, le démarrage de la protection est déterminant afin d’éviter que la maladie ne s’installe et que les fongicides ne soient appliqués en situation curative alors que plusieurs familles chimiques sont concernées par des phénomènes de résistance. « Pour la plupart des cépages, la protection démarre au stade 7-8 feuilles et pour les cépages les plus sensibles au stade 2-3 feuilles. Et, sur la période critique, autour de la floraison, il est recommandé d’utiliser des spécialités comme DYNALI®, ROCCA® et CONYDIA® qui assurent une efficacité pérenne de haut niveau ».

DYNALI®, ROCCA® et CONYDIA®, une efficacité pérenne pour tout type de programmes

DYNALI®, ROCCA® et CONYDIA® associent en effet deux matières actives, le cyflufenamid (CFF), de la famille des amidoximes, et le difénoconazole de la famille des triazoles. « Le CFF est le seul représentant de cette nouvelle famille chimique sans résistance croisée avec les autres familles d’anti-oïdium. Dans nos monitorings de suivi, nous n’avons pas observé de dérive de sensibilité des souches d’oïdium ni au cyflufenamid ni au difénoconazole », souligne Jean Litoux, ce qui permet à DYNALI®, ROCCA® et CONYDIA® d’avoir une efficacité et une régularité d’action au cœur de la protection oïdium.
DYNALI®, ROCCA® et CONYDIA® sont des anti-oïdiums non classés et se mélangent très facilement grâce à un solvant naturel issu de fermentation de sucres (le DML*). Ils bénéficient par ailleurs d’une ZNT de 5 mètres et présentent une faible odeur. « Des caractéristiques appréciées par les viticulteurs pour la période de plus forte sensibilité de la vigne à l’oïdium avec 2 applications à une cadence de 14 jours » explique Jean Litoux.

*dimétyl lactamide